Lens : La douche froide
Partis, le matin vers 7h, cinq supporters prenaient la route pour une expédition dans le nord et le froid annoncé. Après 1 premier arrêt à Seiche sur Loir pour y prendre 3 personnes, (dont 2 nouveaux associés, Eric Couty et Cédric Repulles), le trajet se passait très bien. Malgré la neige abondamment tombée les jours précedents, l’autoroute était parfaitement praticable. L’arrivée à Lens vers 13h30 nous permettait de manger aux abords du stade Bollaert, puis de profiter de l’après midi pour se promener dans le centre ville, proche du stade.
C’est dans l’un des bars, que nous avons rencontré d’autres supporters Stéphanois de la section 133, dans l’Ain. Il y avait besoin de se réchauffer, car la température extérieure avoisinait les 0°.
L’entrée dans le stade permit de découvrir une enceinte qui ressemble à Geoffroy-Guichard, avec ses 4 tribunes couvertes, et ses virages ouverts. A 1h30 du coup d’envoi, nous avions hâte d’y découvrir son ambiance. Nous n’avons pas été déçu, même si elle baissa largement d’intensité au cours de la seconde période. Il faut reconnaitre que la rencontre n’était pas très emballante.
Dans le kop visiteurs bien garni pour un mardi soir (entre 5 et 600 stéphanois), les Magicfans et les GeensAngels avaient, une nouvelle fois, décidé de se taire.
Lionel, Kévin, Maxime, Cédric, Claude
François, Roland et Eric
Côté Lensois, on regrettait les occasions manquées alors que les supporters Verts scandaient le nom de Jannot pour ses sauvetages miraculeux. La déception nous venait encore de certains joueurs très loin de leur niveau habituel avec un Ilan sans combativité et un Landrin totalement perdu. La 2è mi-temps des verts était bien meilleure avec Gelson et Matuidi plus présents, Benalouane toujours bien placé et un Payet plus percutant qui venait apporter un peu d’aide à un pauvre Bergossio encore bien esseulé. Si les Lensois méritaient leur victoire sur l’ensemble de la rencontre, ce pénalti (encore bien litigieux) concédé dans les arrêts de jeu sonnait comme une nouvelle désillusion.
Le retour dans le brouillard en fut encore plus pénible même si les Verts d’Anjou revenaient à bon port à 6h du matin.
Laissez un commentaire